Pourquoi Greg Porter porte-t-il toujours un chapeau ? L’explication…
Vous l’avez sans doute souvent vu et entendu dans la région, notamment à Jazz à Vienne dont il a souvent arpenté la scène.
Et vous vous être sans doute aussi, comme beaucoup, posé la question : pourquoi même en plein été par des chaleurs caniculaire, ne retire-t-il jamais sont chapeau ? Un chapeau d’ailleurs assez atypique que l’on appelle un « deerstalker cap« , une sorte de mélange de casquette et de cagoule qui couvre les joues et la nuque.
Eh bien, notre confrère Jazz Radio répond à cette question existentielle en citant une interview accordée à Jazz Weekly en 2012, dans lequel ce musicien de 53 ans expliquait que ce choix a d’abord été motivé par des cicatrices au visage, qu’il ne voulait pas exposer. « J’ai subi une intervention chirurgicale sur la peau, donc c’est mon look depuis un certain temps et je le garderai encore un peu », avait-il alors expliqué.
Puis, loin d’en faire un complexe, le crooner a finalement pris goût à cette habitude vestimentaire, comme il l’expliquait dans une autre interview, cette fois à Metro en 2020 : « C’est devenu mon style. J’étais à Denver et il faisait froid. Je portais cinq couches de vêtements et un chapeau. Il a fait plus chaud et je me suis dit : « En fait, c’est confortable, c’est un look. » J’ai commencé à chanter dans un club de jazz à Denver et les gens disaient : « Oh oui, c’est le gars avec le chapeau. » C’est donc devenu une habitude. »
Chapeau !
Un nouveau single pour ElliAVIR : « Lovettaz »
Avec comme cheffe de file la chanteuse Lou Rivaille, la formation lyonnaise ElliAVIR, lauréate du Tremplin Rezzo Jazz à Vienne 2022 et Révélation Jazz Magazine, excusez du peu (! ) surfe sur l’actualité jazzique de la région.
Dernière actualité pour ce groupe : la sortie d’un single, « Lovettaz » qui se veut une ode « à la contemplation, à la nature et l’acceptation de soi. » Pourquoi « Lovettaz » ? c’est dans ce hameau d’altitude situé dans les alpages et les forêts près de Chambéry qu’a été composé cet opus. A découvrir.
Jazz tsigane prochainement à Francheville
Il est compagnon de route d’Ibradhim Maalouf : le saxophoniste Mihai Pirvan se produira le 13 mars à 20 heures dans le cadre de « Ça jazze à Francheville ».
Il présentera sur la scène de l’Iris, le projet Rom Sucar : une musique vivante issue de reprises de musiques traditionnelles tsiganes de Roumanie et des Balkans, auxquelles se mêlent leurs propres compositions. Au final : une musique très balkanique, à la fois joyeuse et mélancolique, moderne et rustique…
Un voyage au pays de la créativité et de l’improvisation, à l’image de la culture tzigane : celle des Lautari de Clejani, ces musiciens qui apprennent à l’oreille…
Line-up : CAMELIA PIRVAN : voix ; MIHAÏ PÎRVAN : saxophone POPA MONA-LISA : voix ; BARBU MUGUREL : accordéon ; MIHAI TRESTIAN : cymbalum ; OLIVIER LECOINTRE : contrebasse et DOGAN POYRAZ : percussions