François Dumont d’Ayot joue jeudi chez Madame Simone (Perrache)

François Dumont d’Ayot est en concert ce jeudi (15 février) le temps d’un concert avec son quartet (le FD’A Quartet) au club Mademoiselle Simone, installé près de la gare de Perrache, Cours de Verdun. Au programme de ce Yukund’isthms’, des compos auxquelles il travaille depuis deux ans. A ses côtés des musiciens également familiers, Attilio (Terlizzi – batterie), Rémi (Mercier- claviers), et Pascal (Bonnet – basse). 

François Dumont d’Ayot est en matière de saxophones à la fois un passionné, un curieux et un défricheur, déclinant cet instrument somme toute récent dans de multiples formats, sons, harmonies, plongeant dans diverses époques pour élaborer avec des instruments peu usités des thèmes originaux au carrefour du jazz, de musiques folkloriques, pop et consorts.  

A l’occasion de ce concert, et à l’occasion de ces nouvelles compos, il compte notamment jouer, explique-t-il,  non seulement des saxophones droits en Fa (le Conn O sax, dont personne ne joue plus ) et en Sol (dont – presque –  personne ne joue encore). Et comme si cela ne suffisait pas, il annonce également qu’il jouera -c’est une nouveauté- beaucoup de flûte et de clarinette basse, qui sont ses premiers premiers instruments, et qui, là non plus, ne sont pas les plus courants dans les formations actuelles.

* Concert jeudi 15 à 20h30. Mademoiselle Simone, 26 Cours de Verdun. 

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Camille Thouvenot et le Metta Trio : de « chance » en « chance », jusqu’au Hot Club de Lyon le 2 mars prochain

Dans un petit message, Camille Thouvenot, revient sur son projet d’enregistrement qui aura lieu dans quelques jours et sur son prochain passage au Hot Club de Lyon. 

« Je suis très heureux de vous annoncer deux dates très très importantes pour moi et le trio prochainement !

La semaine prochaine nous entrons au vénérable et grandiose La Buissonne Studio D’enregistrement pour enregistrer notre 2ème opus (c’est à se demander si Andy et Christophe sont pas masos…). 

Et Camille Thouvenot d’apporter le savoureux commentaire suivant :

-« Quelle chance et quel honneur d’être suivi, épaulé, conseillé, accompagné, émerveillé, régalé, soutenu, enthousiasmé.. et j’en passe par ces deux véritables grands hommes et musiciens.

-Quelle chance de retrouver mon « Tonton » Gérard de Haro, maître absolu de l’enregistrement de la musique acoustique, dans son merveilleux studio avec ce merveilleux piano !

-Quelle chance d’être soutenu et suivi par Jinrikisha Production dans l’élaboration et la production de ce futur disque.

– Quelle chance d’avoir pu collaborer avec mon vieux frère Tonio T0 art pour l’illustration et le graphisme de ce disque (trop hâte de vous présenter ce visuel incroyable, qui oui, est déjà presque prêt !! ).

-Quelle chance de pouvoir, quelques jours après cet enregistrement, jouer dans notre club Lyonnais préféré, à la maison, vous retrouver, et vous présenter une partie de ce nouveau répertoire. 

Après plusieurs années d’absence de concerts à Lyon, je suis vraiment très heureux que le Mettà Trio puisse jouer au Hot Club de Lyon  le 2 Mars 2024!!!

Quelle chance ! «

DISQUE

L’Anangu Project : l’enregistrement du disque avance 

Ce quartet constitué à la fin de l’été dernier par Alain Brunet et Pascal Bouterin vient d’enregistrer « Vogue », deuxième morceau du disque à venir. A leurs côtés Nico Morelli, Stéphane Fernandez et Sylvestre Soleil. 

Voici donc « Vogue », le second titre de l’Anangu Project. L’enregistrement s’est déroulé dans les Midilive Studios, anciens studios Vogue dans les années 70. C’est donc,  explique Alain Brunet,  « un hommage à cette période mythique où les plus grands sont venus enregistrer leur musique ». 

Anangu, « être humain » pour les aborigènes d’Australie, être un corps humain, donc un être de vie, de sentiments, de passion, tel est le nom du groupe qu’Alain Brunet et Pascal Bouterin ont constitué à la fin de l’été 2023.

Ce mot provient de la culture aborigène, ld’où est issu cet instrument qui la caractérise souvent : le Didgeridoo.

La musique du groupe est organisée autour du Didgeridoo, joué par Sylvestre Soleil. Un instrument au son puissant,  qui peut dit-on susciter la transe de l’auditeur. 

Pour le peuple Anangu, la vie tourne autour du Tjurkurpa qui fait référence à la période de création où des êtres ancestraux ont créé le monde tel que nous le connaissons. Tjurkupa : « c’est aussi le temps du rêve qui, pour les aborigènes existe toujours, et qui pour nous musiciens, est une nécessité tant pour l’écriture que pour l’improvisation ».

Un quintet très rassembleur 

L’Anangu Project rassemble : 

Alain Brunet – trompette, Nico Morelli – piano, Stéphane Fernandez – guitare, Sylvestre Soleil – didgeridoo, Pascal Bouterin – batterie 

Prise de son – Léo Aubry, Mixage et Mastering – Sébastien Fournier Photographies – Julia Badereddine

Composition – Anangu – 2024 –

Produits par Alain Brunet & Pascal Bouterin

Photo-L’été dernier (2023) lors d’un concert à Parfum de Jazz : Sylvestre Soleil (Didgeridoo) ; Pascal Bouterin (batterie et hang) ; Alain Brunet (trompette) et Jean-Jacques Taïb ( saxophone soprano et clarinette basse)