Parmi les lieux où Jazz à Vienne essaime durant la première quinzaine de juillet figure en bonne place Le Périscope. Jusqu’au 10 juillet, il accueille une série d’évènements en « résonance » avec le festival. Au programme, six concerts live de six artistes, non pas simples prestations sur scènes le temps d’un set mais plutôt un ensemble de choses liées entre elles afin de mieux approcher l’univers de chacun d’entre eux, leurs inspirations ou leurs références.
Dans la série « il se passe toujours quelque chose au Périscope », cette prolongation de saison sent bon le décapant et l’inventif, invitant chacun, sur scène ou en salle, à reconsidérer son approche musicale comme si elle n’avait rien d’innée. C’est pourquoi, outre ces concerts, le Périscope souhaite se transformer durant ces quelques jours en « café-culture » où l’on parlera autant de musique qu’on en fera.
Pour mieux comprendre la démarche de chacun de ces musiciens, on peut lire les quelques mots qu’ils ont mis en ligne en prévision de la petite performance qu’ils comptent livrer tour à tour. C’est très révélateur des recherches que mènent de tels artistes confrontés sans cesse à l’expression, musicale ou non, son intensité ou sa vacuité, et ce jusqu’à plus soif.
Et bien sûr Roberto Negro
On commence le 1er juillet. Si l’on s’agite côté Vienne pour une longue soirée Funk, c’est Elodie Pasquier + April Fish qui démarre les festivités.
Le 2, voici Adrien Dennefeld Solo + Petite Vengeance
Le 3, Romain Dugelay Solo (Pong) + Watchdog avec Anne Quillier, piano et compos et Pierre Horekmans, clarinette basse.
On saute ensuite au 8 juillet : le Périscope reçoit ce soir-là la contrebassiste Fanny Lasfargues Solo + In bed with + Julien Desprez à la guitare et compos
Le 9, arrive Roberto Negro Solo + Carl Lacroix Quintette.
Enfin, vendredi 10, veille de la fin de Jazz à Vienne, le caveau reçoit Clément Edouard Solo + ….avec Aymeric Avice (trompette) et Yann Lemeunier (percussions + keyboards).
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