Que ce soit sous les tilleuls de l’hôpital de Fourvière par beau temps, sous le déluge dans le jardin de la maison d’enfants d’Oullins ou, pour finir au sec, dans le foyer de l’hôpital précité, le festival de François Dumont d’Ayot cultive la convivialité. Tout est fait avec sérieux et personne ne se prend au sérieux. Atypique à bien des égards, il a permis aux curieux que nous sommes d’écouter/voir de jeunes pousses (Napastak quintet), des talents inconnus dans l’hexagone (Alexandra Lehmler quartet) ou des artistes confirmés tels les duos de Gabriele Mirabassi et Roberto Taufic, de François Raulin et Stephan Oliva, ou encore Franck Avitabile en solo. Pour cette septième édition, malgré une perte de soutien financier notable, le festival a tenu son rang et conserver son originalité, notamment en programmant du jazz…
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